En marche vers le progrès

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En cette fin d’année 1874, il convient de revenir sur les événements qui ont mené notre belle Europe sur la voie du succès de l’essor industriel...
Nul doute que le décès soudain de la Reine Victoria, et ainsi l’accession au trône de son fils Leopold, aura été d’une grand aide aux Seigneurs de la Vapeur anglais, puisque le nouveau Roi s’est empressé de nommer un nouveau gouvernement, en choisissant comme Premier Ministre Lord Ashton Montague, puissant propriétaire du British Steam Consortium, Ltd. (chemins de fer, moteurs à vapeur, autorail). C’est ainsi que l’Angleterre peut désormais connaître un développement économique sans précédent.
La France suit enfin cet exemple sans aucune réticence, sous le règne du nouveau roi Charles XI, allié de la toute-puissante Prusse. Les manufactures d’armes et d’équipements industriels s’épanouissent à présent en lieu et place d’inutiles et improductives forêts.
La Russie n’est pas en reste, et il n’est pas impossible que sa victoire sur l’insignifiant petit état de Transnistrie, en fin d’année dernière, lui ait asuré une autorité indiscutable sur ses voisins trop enclins au débats vains et stériles. La Transnistrie, dont les ressources minières ont été très sous-exploitées par le Prince Vlad, un vampire allié aux amis loups-garous, a trouvé sa place légitime de réserve d’exploitation énergétique pour assurer la bonne marche des industries russes.
Le petit prince déchu s’est pitoyablement réfugié dans un train, à bord duquel il sillone l’Europe.
La Bavière ne saurait tarder à ployer le genou devant la toute-puissance prussienne.
L’Espagne suit la voie de la France, et s’est ouverte aux innovations technologiques.
En parallèle à ces victoires de la civilisation, nous pouvons nous réjouir de voir les peuples faë se faire de plus en plus discrets, et mettre fin à leurs ingérences intolérables dans les vies humaines. S’il n’y avait qu’un argument en faveur du développement industriel, ce serait celui-là : il nous garantit l’extinction à cours terme de cette engeance.
Seul le Portugal, sous l’influence de son excentrique et écervelée reine, se veut un asile pour ces êtres amoraux, aux pouvcoirs démoniaques. La Reine Maria, abusant des établissements culturels qu’elle a mis en place, entretient par une Propagande éhontée la fidélité d’un peuple trop crédule.






(Neue Preussische Zeitung -Kreuzzeitung- Samstag, 5. Dezember 1874)

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